|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]
|
|
|
|
ELECTIONS REGIONALES 2010 : n'oubliez pas de vous inscrire !
26/12/2009 07:16
Les 14 et 21 mars 2010 se dérouleront des élections régionales importantes pour votre avenir. Pour mettre fin à ce cycle de presque 30 années de gestion uniquement socialiste, agrémenté ça et là d’une pseudo opposition UMP, il vous faut voter pour une liste résolue à faire de la politique autrement. Cette liste c’est celle de Debout
la République. Pour nous aider votre suffrage est important. Aussi, n’oubliez pas de vous inscrire sur les listes électorales de votre commune. Vous avez jusqu’au 31 décembre pour le faire. Si vous avez changé d’adresse, n’hésitez pas à vous inscrire au plus vite sur les listes électorales de votre commune. Pour ceux qui ont eu 18 ans cette année, bien que l’inscription se fasse automatiquement sur les listes de votre commune de résidence, nous ne saurions que trop vous poussez à aller vérifier.
Pour vous inscrire il suffit de vous munir d’une pièce d’identité en cours de validité et d’un justificatif de domicile (attestation parentale si vous résidez chez vos parents).
Pour plus de renseignement consulter le service électoral de votre mairie.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Personnel municipal : une gestion inhumaine de leurs ressources !
25/12/2009 17:03
Un membre du personnel municipal, un peu décontenancé, nous a transmis une note de service n°2009-094 émanant de
la Direction générale des services, note transmise conjointement avec sa fiche de paie. Au vu du contenu de cette note nous ne pouvons qu’admirer le cynisme de la municipalité. Quel joli cadeau de Noël pour le personnel, ce petit personnel qui semble être tenu pour unique responsable de la situation financière actuelle et qui, par conséquent, sera le seul à payer, exception faite apparemment d’une poignée de nantis jouisseur de privilèges et prébendes en tous genres, toujours les mêmes d’ailleurs, qu’importe les régimes.
Pour une équipe d’élu se réclamant adepte du dialogue sociale, il aurait été judicieux de ne pas user de telles méthodes. D’ailleurs, le candidat Daniel Duquenne allait dans ce sens lorsqu’en juin 2009, lors de la campagne des municipales, il disait : « Les employés sont responsables ni de la situation financière de la ville, ni du sureffectif des agents communaux. Il ne saurait être question de leur faire payer le prix fort ! ». Il semblerait que depuis, l’Alliance Républicaine, aidée en cela par des cadres jadis complices du système Dalongevillien, ait décidé de revenir à de vieilles méthodes déjà éprouvées en d’autres temps (2005/2008), parjurant pour le coup l'actuel Maire. Le plus choquant dans cette nouvelle injustice, est que des représentants syndicaux (FO,UNSA), censés défendre l’intérêt des salariés, se soient rendus complices de cette iniquité en actant cet état de fait au dernier CTP. Quel est le prix de leur trahison ? Je doute qu’ils se soient contentés de 30 deniers ! Les salariés de la ville sauront s’en souvenir.
L’autre incongruité dans cette affaire c’est que ce soit une équipe se réclamant du socialisme qui s’est autorisée a agir ainsi. Pensez donc, de par leur décision, tous salarié en arrêt pour accident de travail, pour maladie professionnelle ou pour longue maladie sera soumis à une injuste amputation de ses revenus. Les salariés sont – il responsables d’avoir été frappé par un cancer ou autres maladies invalidantes ? Ne serait – ce pas à l’employeur d’assumer la responsabilité d’une maladie professionnelle touchant leurs employés ? De même ne serait – il pas honorant pour l’employeur d’assumer la responsabilité morale qui lui incombe pour tout accident du travail survenant sur ses employés ?
Bravo Messieurs les élus et messieurs les représentants syndicaux ! Voilà une politique odieuse dans le plus pur accent Sarkozyste ! Un fidèle disciple de ces stakhanovistes de la bêtise me disait pour justifier leur politique immorale, qu’il s’agissait avant tout de mettre un terme aux arrêts de complaisance qui ont explosé en Mairie selon
la DRH. Les médecins généralistes du secteur seront donc heureux d’apprendre qu’ils distribuent à tour de bras des arrêts de complaisance. Encore une ineptie de ces élus qui refusent de voir avant tout qu’ils sont les premiers responsables de cet état de fait. Aucunes remises en question pour ces hobereaux pétris de certitudes. A gérer la commune dans ces conditions, nous pouvons avoir la certitude sans être grand clerc, qu’ils ne passeront plus par les fourches caudines de l’électorat héninois lors des prochaines échéances !
Le comité DLR
|
Commentaire de What else? (26/12/2009 05:53) :
Taux d'absentéisme du personnel municipal
22 juin 2006
Question écrite n° 21946 de M. Jean Louis Masson (Moselle - NI) publiée
dans le JO Sénat du 02/03/2006
M. Jean Louis Masson attire l'attention de M. le ministre de la
fonction publique sur le fait qu'une étude a été publiée récemment
pour comparer le taux d'absentéisme du personnel municipal d'une
trentaine de grandes villes. Un extrait de cette enquête a été publié par
l'Institut français pour la recherche sur les administrations
publiques (IFRAP). Il apparaît que le personnel municipal des villes
d'Aix-en-Provence et de Montpellier a un taux d'absentéisme plus
de deux fois plus élevé que celui d'autres villes telles
qu'Angers, Besançon ou Nantes.
Ce taux d'absentéisme est même égal à plus du triple du taux
d'absentéisme constaté dans le secteur privé. Il souhaiterait donc
qu'il lui indique si cette situation peut s'expliquer par une
épidémie locale spécifique ou par l'existence d'abus divers. Le
cas échéant, et eu égard à l'importance des distorsions constatées, il
souhaiterait qu'il lui indique quelles sont les mesures envisagées
pour remédier à cette situation.
Réponse du ministère : Fonction publique dans le JO Sénat du 22/06/2006
L'octroi des congés de maladie, de longue maladie et de longue durée
aux fonctionnaires territoriaux est encadré par des procédures strictement
définies par le décret du 30 juillet 1987 modifié relatif à
l'organisation des comités médicaux, aux conditions d'aptitude
physique, et au régime des congés de maladie des fonctionnaires
territoriaux. Pour bénéficier d'un congé de maladie ordinaire ainsi
que de son renouvellement, le fonctionnaire territorial doit, dans un délai
de quarante-huit heures, adresser à l'autorité dont il relève un
certificat d'un médecin ou d'un chirurgien dentiste. Celui-ci est
alors placé, de droit, en congé de maladie.
Cependant, afin d'éviter les abus en matière d'octroi de congés
de maladie ordinaire, l'autorité territoriale peut faire procéder à
tout moment à la contre-visite du demandeur par un médecin agréé. Cette
contre-visite présente un caractère obligatoire pour l'agent qui ne
peut s'y soustraire sous peine d'interruption de sa rémunération.
Le comité médical compétent peut être saisi, le cas échéant, soit par
l'autorité territoriale, soit par l'intéressé, des conclusions du
médecin agréé. En ce qui concerne les congés de longue maladie ou de longue
durée, tout fonctionnaire qui bénéficie d'un tel congé doit, sous
peine d'interruption du versement de sa rémunération, se soumettre aux
visites de contrôle prescrites par le spécialiste agréé ou par le comité
médical. En cas de refus répété et sans motif valable de se soumettre à ces
visites de contrôle, le fonctionnaire territorial peut, après mise en
demeure, perdre le bénéfice du congé qui lui a été octroyé. Ainsi, les
collectivités territoriales disposent des outils juridiques permettant un
contrôle efficace du bien-fondé des congés de maladie de leurs agents.
En application du principe de libre administration des collectivités
locales, il appartient aux seules collectivités territoriales de mettre en
oeuvre, le cas échéant, ces procédures de contrôle. Les spécificités de la
fonction publique territoriale, notamment le nombre très important des
agents de catégories C (80 % des agents territoriaux) expliquent un taux
élevé d'absentéisme. Les conditions d'exercice de ces agents, en
effet, les conduisent la plupart du temps à exercer sur le terrain, et donc
à y être exposés plus que les agents de catégorie A ou B, à des risques
réels de maladie.
Prenons le problème à l'envers :
Pourquoi ne pas avoir établi une Prime de Présentéisme ?
La municipalité a choisi la sanction et côté Prévention ?
Je suis d'accord avec vous quant à la municipalité, elle devrait payer
"cette maladresse" dans les urnes, puisque l'opinion des employés
communaux sur leurs employeurs a toujours une forte influence sur le choix
des électeurs.
Seul l'avenir nous le dira car ce n'est pas au pied du mur que
l'on voit le maçon, c'est tout en haut si il est franc !
|
|
Commentaire de DLR1 (canal historique) (26/12/2009 06:51) :
Tout est dit cher What else !
|
|
Commentaire de cimares (26/12/2009 14:13) :
Voilà qui est significatif... Quand j'écrivais, il y a quelques jours
que les institutions ne remplissaient pas leur mission dans notre beau
département.
Ce discours de défense du personnel doit être tenu par les représentants du
personnel et les organisations syndicales.
Que font elles? où sont elles ?
Elles préparent leurs congrès et autres discours de défense des employés...
et éventuellement le passage de leurs 'élites' dans la sphère
politique, dont plus aucun citoyen n'ignore l'intérêt financier
que représente ce type de fonction .
|
|
Commentaire de manéthon (27/12/2009 13:36) :
les cadres ont - ils droit au même régime ?
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Quand Bruno Le Maire remet en cause la mondialisation
24/12/2009 11:00
« Nous, en Europe, nous sommes les champions d’un libre échange sans règles, sans contrôles, qui, à mon sens, est allé trop loin et doit être revisité ». Cette critique de l’Europe ne vient pas de Nicolas Dupont-Aignan, mais bien de Bruno Le Maire. Simple posture ou vraie remise en question ?
Une crise sans précédent
Il faut dire que la crise de l’agriculture est aujourd’hui particulièrement sévère. Le revenu des agriculteurs a ainsi baissé de 34% cette année, le ramenant à un niveau inférieur au début des années 1990 ! Et comme parallèlement, le prix des produits agro-alimentaires n’évoluent pas dans le même sens, il est parfaitement légitime que le ministre de l’agriculture affirme « qu’il faut une meilleure répartition de la valeur ajoutée, ce n’est pas normale qu’en période de crise, les seuls à trinquer, ce soient les producteurs ».
Cette nouvelle déclaration semble donc indiquer que la France veut sérieusement remettre en cause les réformes de la PAC, comme l’annonçait la réunion de 22 ministres de l’agriculture à Paris il y a quelques jours. Bruno Le Maire semble de plus en plus sérieux dans sa volonté de revenir sur la libéralisation excessive des marchés agricoles en Europe, au contraire de son prédécesseur, le très complaisant Michel Barnier, qui semblait avoir oublié qu’il ne travaillait plus à la Commission Européenne.
Posture ou remise en question ?
La réunion qui s’est tenue à Paris semble donc être le signe d’une véritable volonté de retour à une Politique Agricole Commune moins libérale et qui prendrait des libertés avec « la concurrence libre et non faussée », le Graal de la Commission. Car ce que nous annonce le ministre de l’agriculture est assez clair. Il prône un retour à la préférence communautaire et une relocalisation de la production, soulignant l’absurdité d’importer des pommes du Chili quand nous en produisons localement.
D’une part, on peut se réjouir qu’un ministre UMP rejoigne les positions de ceux qui dénoncent les ravages du tout-marché depuis près de 20 ans. Au moins, cela contribuera à populariser nos idées. En revanche, on peut toujours rester interrogatif sur la volonté réelle du gouvernement de changer les choses. Nicolas Sarkozy a trop souvent dit tout et son contraire. Là, il semble que la détresse du monde paysan permette une prise de conscience des politiques mais le doute reste permis.
Il faut espérer que les déclarations du ministre soient plus qu’une posture. A priori, cela semble le cas. Heureusement, car il y a urgence à agir pour sauver le monde agricole. Mais, il faudra passer sur le corps de vingt-cinq années de libéralisation sous l’égide de l’Europe.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Mon respect pour la terre des droits de l'homme
24/12/2009 08:38
Je me permets d’intervenir sur votre expression libre suite à votre article du 17/12 sur la violation manifeste d’un espace laïque par des religieux, mais également dans le cadre du débat sur l’identité nationale auquel votre mouvement contribue. Je suis français d’origine étrangère, dans ma vie privée, je pratique la religion islamique. Toutefois, citoyen français avant tout, je ne déborde pas ma pratique dans la sphère publique. J’ai conscience d’habiter le pays le plus tolérant à mes yeux en matière de pratique religieuse. En effet,
la France
ne m’interdit pas l’exercice de ma foi, de même qu’elle autorise la pratique du christianisme, du judaïsme, du bouddhisme et de toute autre confession compatible avec les lois de
la République.
Et
c’est là que je voulais arriver. Je trouve en effet anormal que des compatriotes, où d’autres personnes originaires de divers pays de confession musulmane, puissent exiger d’investir le champ public avec des pratiques, qui souvent d’ailleurs n’ont rien d’islamiques, au mépris des lois républicaines. Je suis encore plus navré de découvrir que des Français leur emboîtent le pas. Bien sur que la charia est la loi islamique de référence pour tous musulmans, mais uniquement dans les pays islamiques (Dar al Islam). Et encore, certains états (Syrie, Turquie …) ont d’autres codes législatifs. En France, Etat laïc,
la Sharia
n’a pas droit de cité dans l’espace publique. Notre religion n’est pas ici en croisade sur un territoire de guerre (Dar al Harb), comme essaie de nous le faire croire les islamistes radicaux mais en territoire de conquête des cœurs. Cette conquête des cœurs passent par un comportement exemplaire de la communauté musulmane. Nous sommes loin du compte ! Combien de prosélytes du voile, du minaret où de la sharia peuvent- ils être qualifiés véritablement de musulmans ? Celui qui va tous les jours, 5 fois par jour à la mosquée, qui oblige femme et filles à porter le voile, qui crache en permanence sur les Roumis tout en ne dédaignant pas de recevoir les subsides de
la République
et qui ne pratique la charité qu’une fois par an, parce que celle-ci est une option sur sa place au paradis, celui -ci ne mérite pas l’appellation de musulman. Tout juste est – il un hypocrite (Munafiq) qui use de l’Islam pour ses fins personnelles. Non, l’Islam, comme le disait cette dame dans la vidéo du 17/12/2009, l’Islam ce n’est pas cela. D’ailleurs, à propos de cette vidéo, ce qui me gène c’est que, outre le fait d’envahir un espace public pour des fins religieuses, c’est surtout le lieu où se déroule cette prière : la rue ! La rue avec tous ses miasmes et ses pollutions, des conditions invalidantes pour recevoir les orants à la prière. La condition de pureté rituelle (Tahara) du lieu n’est pas valide et la prière n’y est donc pas autorisée. L’Imam de cette mosquée est un bien piètre imam en laissant faire cela, ou alors le fait-il à bon escient dans un but politique ? Mais là, c’est un autre domaine et la loi française se doit alors de l’encadrer, voir de l’interdire. Même au Maghreb, où je me rends régulièrement, je ne vois que très rarement les gens prier à l’extérieur de l’enceinte sacrée qu’est
la Mosquée.
L
’office ne déborde pas sur l’espace public qui est dévolue aux affaires courantes. Ce que l’on n’exige pas d’un pays musulman, doit-on l’exiger d’un pays laïc ? De grâce mes frères arrêtont de nous faire plus royaliste que le roi dans cette course à l’islamité, une course qui devient ridicule et qui salit l’Islam ! Je pense qu’en matière de tolérance religieuse,
la France
est une des nations les plus en pointe et qu’elle n’a donc pas de leçons à recevoir. Qui peut en dire autant des états musulmans, à commencer par le premier d’entre eux : l’Arabie Saoudite !
Tarik
|
Commentaire de DLR1 Canal Historique (24/12/2009 08:46) :
Cher Tarik, votre message est un baume pour le coeur de tous ceux qui
croient encore aux vertus de notre République. Oui, la République protège
et permet l'exercice de tous les cultes qui n'exercent aucunes
atteintes aux droits de l'homme. L'homme avant Dieu, voilà le but
de notre combat quotidien. L'homme est libre de croire où de ne pas
croire, et en aucun cas l'homme doit subir la croyance des autres. Un
joyeux noël à vous et à vos proches...
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le Mythe Du Père Noël - Origines Et Évolution
24/12/2009 05:51
Le Mythe Du Père Noël - Origines Et Évolution
De Viara Timtcheva
Edition : L’Harmattan
Collection : Communication sociale
Préface : Mireille Vagné - Lebas
Edité le : 01/10/2006
176 Pages
ISBN : 229-60-169-60
Résumé : Le Père Noël est - Dieu mis à part - le vieillard le plus populaire de la culture occidentale. En serait-il le dernier mythe vivant ? D'où vient-il, où va-t-il ? Son image a-t-elle changé au fil des années, quelle est-elle aujourd'hui ? Sommes-nous les témoins de sa disparition ? Tel que nous le connaissons, Papa Noël est américain et a tout juste 75 ans. Or, ses origines, européennes, sont beaucoup plus anciennes. Sous ses différentes apparences, empruntant tour à tour le nom d'Odin, saint Nicolas, Jultomte ou même Babouchka, il accompagne cette vieille humanité depuis toujours. Il a survécu aux bouleversements religieux et aux conflits politiques, à son long voyage vers le Nouveau Monde, à son retour difficile vers le Vieux Continent. Au cours d'une enquête fouillée et très documentée, l'auteur retrace l'évolution du mythe de son origine à la fin du XXe siècle, en passant par ses aspects psychologiques et sa dualité, en donnant la parole à ses partisans comme à ses adversaires. Voici un livre à lire avec curiosité afin de découvrir le passionnant périple du Père Noël entre croyances et rites, entre sacré et profane, entre guignol de la " consommation " et symbole même de la générosité.
L’auteur : Viara TIMTCHEVA est chercheur à l'Université Michel de Montaigne-Bordeaux 3. Spécialiste du genre littéraire du merveilleux, elle est l’auteur d’ une thèse de doctorat sur l'image du magicien dans les contes populaires.
| |
|
|
|
|